Le véritable nom de cette île japonaise est Hashima, Gunkanjima est un surnom signifiant « île navire de guerre » en raison de sa silhouette évoquant celui-ci. Cette petite île au Large de Nagasaki a été exploitée pendant un peu moins d’un siècle (~1887-1974) pour ses ressources naturelles. Véritable île minière, l’île exploitée par le groupe Mitsubishi abritait à son plein essor 5300 habitants permanents. Les mineurs qui travaillaient dans les galeries et les contre-maîtres, mais aussi leurs familles, des professeurs pour les écoles, des médecins… L’île était devenue une véritable petite ville. Pendant la seconde guerre mondiale, alors que le Japon dominais la Corée, les mines de houille de Gunkanjima furent le théâtre de crimes de guerre. Environ 800 Coréens furent exploités dans des conditions très dures. Plus d’une centaine d’entre-eux y trouvèrent la mort, ceux tentant de s’échapper furent vraisemblablement torturés. C’est à l’après guerre que l’exploitation de la houille fût la plus importante pour se stopper brutalement dans les années 70 avec l’utilisation de plus en plus importante du pétrole. Depuis que l’île est déserte et que les bâtiments ne sont plus entretenus, le délabrement de ceux-ci est très rapide en raison des typhons qui sévissent au large. Pour […]
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Arashiyama (嵐山) est un district à l’ouest de Kyoto qui est bien connu des kyotoïtes pour son cadre naturel agréable. Sa notoriété remonte à la période Heian, où déjà les nobles s’y rendaient pour admirer la floraison des cerisier au printemps ou les couleurs flamboyantes de l’automne. En plus des habitants de la région, Arashiyama reçoit aujourd’hui la visite de personnes du monde entier, souhaitant trouver un peu de calme et de zénitude à quelques stations de train seulement du centre de Kyoto. Lieu reposant et rafraîchissant lorsque la canicule frappe le Kansai en été, la forêt de bambous est certainement le spot le plus remarquable d’Arashiyama, mais il ne faut pas non plus manquer la montagne aux singes et sa vue imprenable sur la ville, le pont Togetsukyo et le petit quartier des boutiques proposant des spécialités locales telles mes mochi.
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En 880 le petit village alsacien de Wangenbourg, initialement Wangberg ou « mont du pâturage », fût cédé à l’abbaye d’Andlau par sa fondatrice Sainte Richarde. Au XIII siècle, la famille de Dicka qui gère les affaires et biens du monastère lance la construction du château de Wangenbourg, sur le modèle de celui de Spesbourg, près d’Andlau. Au décès du dernier de la lignée De Dicka en 1386, Wangenbourg revint au chevalier Jean de Wangen. Fin du XVème siècle, les Wangen ruinés perdent le château, ne pouvant plus l’entretenir. En 1504 l’empereur Maximilien, vainqueur de la guerre de succession de Bavière, fait présent du château au comte de Tierstein qui à son tour le revend à l’évêque de Strasbourg en 1518 bien que les descendants des Wangen continuent à habiter le château. En 1578, l’évêque de Strasbourg et les sires de Wangen s’opposent au sujet des droits de propriété sur le château. S’ensuit l’expulsion des Wangen la même année, avant leur rétablissement en 1595. Dévasté par les Suédois en 1633 durant la guerre de 30 ans (qui a également vu la population du village chuter à seulement 15 habitants), le château ne fût jamais reconstruit. Après le passage aux mains de diverses familles allemandes, le […]
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Découverte en 1836 par un chasseur, Il aura fallut une cinquantaine d’année avant que des spéléologues en débutent l’étude. A ce jour, 57 km de galeries formées par d’anciennes rivières souterraines ont été explorées et répertoriées, dont près d’une vingtaine sont immergées. Au fil de la découverte du vaste réseau de galeries, de très belles cathédrales et d’immenses salles ont été nommées en fonction de ce qu’elles évoquaient à leurs visiteurs. Ainsi on trouve dans la grotte de St-Marcel la table des rois, la fontaine de la vierge, ou encore la galerie des peintres. A noter les superbes gours particulièrement bien mis en valeur par un jeu d’éclairage mis en place pour la visite touristique de la grotte et l’agréable température de 14°C à l’intérieur, en hiver comme en été. La photo des gours en grande taille
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A quelques kilomètres de la ville d’Obernai se situe le village de Rosenwiller qui abrite un cimetière juif, dont le grand âge lui procure son charme. Les premières mentions écrites que l’on a retrouvées à propos de ce cimetière date du milieu du XIVéme siècle. D’après le registre débuté en 1753, les 4 hectares couverts par le cimetières abritent plus de 5500 tombes, dont les plus anciennes encore visibles dateraient du début du XVIIIéme siècle. En traversant le cimetière d’ouest en est, on remonte le temps et plus on remonte le temps, plus la concentration de sépultures visibles diminue. Le temps a eu raison des premières stèles qui étaient en bois, mais aussi de celles en pierres qui se sont progressivement couchées pour finalement finir ensevelies (des pillages sont à priori également en cause dans la disparition de certaines pierres tombales). Ce lieu dégage une ambiance toute particulière, un mélange entre témoignage de l’Histoire et esthétisme épuré. A visiter dans le respect dû à tout lieu de repos éternel ou en photos en suivant ce lien
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Le Donon est l’un des sommets majeurs du massif vosgien mais erst situé en Alsace dans le département du Bas-Rhin. Le lieu est chargé d’histoire. Sa visibilité de très loin en a fait dès le Néolithique un lieu de refuge, de chasse et de de rencontre pour les différentes tribus Celtes. Petit à petit le sommet à la vue dégagée à 360° s’est vu donné un caractère spirituel, mais ce sont les Gaulois puis les Romains qui ont réellement établi un vrai lieu de culte dédié à Mercure. Le temple du Donon actuel est une construction récente (XIXe siècle) permettant de témoigner de l’histoire du lieu, les bâtiments d’origine ayant tous disparus au fil des années. L’ascension vers le temple du Donon peut se faire par de nombreux chemins de randonnée, l’effort est récompensé par un lieu magiqué dont se dégage un charme unique et une vue magnifique. Les photos du Donon et de son temple
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Le Mont-Ste Odile est un lieu réputé d’Alsace pour son panorama sur la vallée qui est probablement un des plus dégagé du Bas-Rhin. A 764m d’altitude, ce sommet du massif Vosgien offre lorsque le temps est clément une vue portant d’Obernai ~ Rosheim jusqu’à Strasbourg et Erstein, avec la Forêt Noire en fond. Mais le Mont Ste-Odile c’est aussi et avant tout un lieu Saint, représenté par le couvent et l’Abbaye de Hohenbourg, fondé en 680 par Sainte Odile. Bien avant cela déjà, le lieu appelé « Altitona » était un endroit dédié au spirituel chez les Celtes. Les abords forestiers de l’abbaye regorgent de sentiers de promenade et de randonné, dont celui suivant le fameux mur païen, long de 11km. C’est un endroit tranquille et apaisant, même avec ses 1 300 000 visiteurs annuels… Les sœurs veillent au silence du lieu. Voir les photos du mont Ste Odile.
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Sans entrer dans des détails techniques ou des tests pointus voici l’humble matériel que j’ai utilisé pour une partie des photos que vous pouvez voir céans. Au départ, lorsque mon envie de tout photographier m’a pris, je me suis équipé avec un petit D3100 de chez Nikon couplé aux simplissimes et non-moins classiques 18-55 et 55-200. Un bon point de départ pour moi qui m’a donné l’occasion d’apprendre à faire de la photo autrement qu’en appuyant simplement sur un bouton. A coup de clichés ratés et d’autres surprenants, la qualité a commencé à venir ainsi que ma dextérité pour trouver un réglage correct sans y passer tellement de temps que la nuit finissait par tomber avant d’avoir pu prendre la première photo. Il était donc temps de commencer à faire évoluer le matériel, d’abord avec objectif un 70-300 (Tamaron) en remplacement du 55-200, qui m’a apporté le confort d’une focale plus grande, d’avoir une stabilisation ainsi qu’une mise au point plus silencieuse et rapide. Puis est venu mon préféré, le 40mm Nikkor « macro » f2.8. celui-là est monté en permanence sur le boitier tant il convient à presque toutes les situations. Sa possibilité de faire des photos très rapprochée, la relativement […]
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